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Enfermé dans sa tombe, elle observe les murs
De cette cage, cet enfer, qui doucement la torture
Et voilà que soudain, elle monte haut vers ciel
La Belle qu’on voit mourir, qu’on observait souffrir
Plusieurs images en tête, son sourire sans pareil
Sa tendresse, sa finesse, sa façon de chérir
Et voilà qu’aujourd’hui, assise sur sa tombe
J’observe bien les murs, les limites de ce monde
Trois gouttes de son sang, au goût plutôt acerbe
Petit seau de mes larmes, peut être bien acide
Alors que je la pleur, cette femme haut dans le ciel
Son corps lui sommeil et repose à merveille
Alors que je la chante, au rythme des corneilles
La plus belle des colombes, devenue le soleil
YoungEnemyUnknown